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Ouvre la porte.
« Je ne vous parlerai pas de vengeance, de guerre, de lutte et de sang.Je ne vous parlerai pas non plus d'injustice et de droit. Je ne vous parlerai même pas de ces gens qui font rimer ordre et terreur, lois et mensonges, morale et déchéance. Je veux vous parler de cette lumière qui brille en chacun de nous. Cette petite lumière qui fait de chacun de nous un être humain. Parce que cette lumière est en train de s'éteindre. »

Pierre Bottero dans La Huitième Porte.
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Léandros Menelaus

Léandros Menelaus


Réponse du poète.
▬ LES AMES CROISEES.:
LA PROPHETIE :

" I wish to remain nameless, and live without shame,
because what's in a name,
I still remain the same. "


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(ombeline * maëve)

L'ENVOL : ORPHELIN AYANT TIRÉ SON ÉPINGLE DU JEU. SERVITEUR DU ROI GALADHORN.
LES PARCHEMINS : 34
L'AME : FAREWELL.
LE REGARD : LOGAN LERMAN.
LE TEMPS : DIX-NEUF.
LE SANG : GALADHORN.
LE DESTIN : ESCLAVE ROYAL.
LES ROSES : 3425
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fantastic beasts ☆☆ (ombeline) EmptyMer 15 Avr - 14:43



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@OMBELINE GRIFFAND (sarasvati)


Les griffons. Ces bêtes fougueuses, aussi belles que féroces, aux yeux perçants, aux ailes grandioses, aux griffes lacérantes. Ils forçaient l'admiration et le respect, et dans certains cas, l'effroi. Ce n'était pas quelque chose dont Léandros était particulièrement fier, et une anecdote qu'il aimerait autant garder pour lui. Pourtant, il avait bien discerné le rictus d'Hecktor lorsque celui-ci lui avait ordonné de se rendre à la griffonnerie, s'enquire de la bête tombée malade quelque jours plus tôt. Une partie du domaine à laquelle il n'aimait pas se rendre plus que nécessaire, il s'était néanmoins mis en route après avoir observé un léger malaise, se rassurant comme il pouvait sur la facilité de la tâche. Animaux privilégiés, si les griffons jouissaient de la réputation d'être plus des alliés que des outils destinés à servir les Hommes, ils disposaient également de longs terrains verdoyants à en rendre jaloux les chevaux. Au centre de la cour, dans la partie des jardins qu'ils referaient tous comme ''la griffonnerie'', s'étendait un imposant terrain, où la bête en question reposait, isolée du reste. Couché sur ses pattes arrières, les ailes repliées mais le regard toujours vif, il suscitait l'interêt du maître griffonnier, alors accoudé aux barrières délimitant la zone. « Sa majesté demande des nouvelles du griffon malade. » Annonça-t-il une fois arrivé à sa hauteur.  Sa voix était claire, mais ses veux voyageaient déjà derrière la silhouette imposante du maître griffonier assigné à la cour, un homme large et rustre dont le regard féroce miroitait ceux des bêtes dont il s'occupait. A croire que c'était un pré-requis. Mais si, avec le temps, Léandros avait appris comment amadouer le vieux bougre, il ne pouvait pas en dire autant des créatures ailées sous ses soins, et toute la majesté qu'ils possédaient ne saurait effacer la crainte qui naissait en lui lorsqu'ils braquaient leur gros yeux noirs brillant d'intelligence sur sa personne. Des entités fascinantes, pour sûre, quand admirées de loin tout du moins. Et s'ils attiraient indéniablement son regard, l'esclave n'en ressortait jamais gagnant. Oui, tu fais bien d'avoir peur, criait l'iris sauvage du griffon malade, qui n'avait pourtant rien perdu de sa prestance, tandis qu'il écoutait le récit du griffonner d'une oreille distraite. Yaddi Yadda, on sait pas ce qui cloche avec celui-là, yaddi yadda, l'éleveuse a été appelée pour prêter assistance, elle devrait bientôt être là. Ça faisait froid dans le dos.

Ayant trouvé ce qu'il était venu chercher, Léandros devrait maintenant retourner auprès de son roi pour lui annoncer la nouvelle. La situation semblait sous contrôle, et avec l'arrivée imminente de dame Ombeline, il aimerait autant ne pas s'attarder de ce côté du château. Ses mains derrière le dos, il exécuta une petite révérence et voulut se mettre en chemin. Son ardeur à se défiler fut cependant bien vite refroidie. « Tiens, avant que tu partes, tu veux bien nourrir la pauvre bête ? J’entends que ça gronde de l'autre côté, je vais aller voir ce qu'il se passe. Et ne te contente pas de lui lancer de loin, il ne peut pas trop bouger. » Il se retrouva chargé d'un déjeuner de griffon avant même d'avoir eu le temps de réagir. « Heh ? » Le son était sorti tout seul, et n'était pas tant une question qu'un bêlement de frayeur. Il en est hors de question, voulut-il objecter, mais aucun mot ne franchit la barrière de ses lèvres, pour il n'oserait jamais froisser le griffonier, et qu'il n'était de toutes façons déjà plus là pour l'entendre. Un sceau de carcasses animalières dans les mains, Léandros sentit son estomac remuer, mais il ne saurait dire si il s'agissait de l'odeur nauséabonde qui en dégageait, ou du regard affamé que lui lançait le griffon. Oui, viens, semblait-il l’appeler. J'ai faim, très faim. L'esclave déglutit, figé. Amedë, pourquoi ?



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fantastic beasts ☆☆ (ombeline) EmptyJeu 16 Avr - 14:10



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Une bien grande peur.

 
Apercevoir une pie volant en direction du domaine était toujours une joie pour Ombeline. Pour son petit frère et sa belle-mère, un peu moins, car, trop souvent à leur goût, cela signifiait voir partir la jeune femme pour un endroit ou un autre. Tant que cela était sur l'île principale des Galadhorn, ils n'étaient pas trop ennuyé. Mais s'il s'agissait de demandes à venir sur le continent... Les deux faisaient alors grise mine, plus encore pour Oldaric qui n'avait encore jamais eu la permission de venir avec sa sœur découvrir le vaste monde. Trop jeune, s'entendait-il constamment répéter, de quoi le rendre bougon. Heureusement, il était doté d'un heureux caractère faisant qu'il ne pouvait rester trop longtemps énervé après sa sœur. Et puis, même si une part de lui avec envie de suivre sa sœur au-delà des frontières de leur île, il s'agissait plus d'une envie d'être à ses côtés et de la voir faire avec d'autres qu'une réelle curiosité à l'égard des autres royaumes. Il n'avait que peu d'attrait pour ce qui n'était pas son île, et se sentait bien trop heureux là où il était pour rêver à une herbe plus verte ailleurs.

Ce matin-là, voir une pie arriver suscita donc, comme toujours divers sentiments, qu'apaisa quelque peu son ouverture. La capitale n'était pas bien loin à cheval, même si cela représentait tout de même plus d'une heure de cheval. Néanmoins, la nature même du message avait de quoi préoccuper Ombeline, et les siens par ricoché. Si le griffon allait assez mal, elle pourrait potentiellement rester sur place plus d'une journée. Les griffons royaux avaient ceci de prioritaire sur les siens, d'autant plus qu'elle pouvait compter sur l'aide de ses employés pour palier son absence. Elle se prépara immédiatement, demandant à son frère d'aller voir Jonquille et de lui demander divers remèdes. Le message n'était pas assez précis pour qu'elle devine sans examiner la bête le mal qui la tenait, aussi emporterait-elle plusieurs choses. Et, si besoin était, un des gardes reviendrait ici pour chercher le remède nécessaire. Ambroise peut-être ? A cette pensée, elle eut un sourire.

Le temps que son frère aille chercher quelques remèdes, et que sa belle-mère prépare son cheval, Ombeline se changea. Elle n'osait rester en pantalon pour aller à la capitale, aussi mit-elle une longue jupe bordeaux avec une chemise beige pour seul haut. Sans qu'elle n'eut à lui demander, son griffon favoris s'envola, la suivant dans les cieux tandis qu'elle allait à cheval vers la capitale. Elle ne fut guère ennuyée, atteignant rapidement la griffonnerie. Un jeune garçon l'attendait, récupérant son cheval tandis qu'elle s'éloignait vers le terrain où se trouvaient habituellement les griffons, un sac somme toute lourd de toutes les affaires que Jonquille et son frère avait mis. Elle vit au loin le maître griffonier partir, laissant un jeune homme aux côtés d'un griffon qui se tenait à l'écart des autres. D'un pas décidé, elle alla vers ces derniers. Le jeune homme était figé devant la bête dans un duel de regard qu'il ne devait pas avoir saisi, vu l'air... Apeuré ? Qui tirait les traits de son visage.

Le griffon, bien que la connaissant, ne détourna pas les yeux du jeune homme, lorsqu'elle arriva à leur côté et déposa son sac au sol. « Vous ne devriez pas le regarder ainsi dans les yeux. Pas alors que vous avez l'air d'avoir si peur. Les animaux le sentent. En plus, s'il est malade, il doit être encore plus à cran, et sentir votre peur peut l'amener à vous attaquer. » Comme toujours lorsqu'il s'agissait des griffons, Ombeline ne prenait aucun gant pour parler. Elle disait les choses telles qu'elles étaient, sans chercher à les atténuer. Au risque, parfois, de heurter la personne à qui elle parlait. Elle aurait pu trouver d'autres mots pour essayer d'apaiser le gamin, puisqu'elle voyait bien qu'il n'était pas du tout à son aise, mais elle était trop concentré sur le griffon pour penser aux sentiments du jeune homme. Pourtant, lui aussi aurait eu besoin qu'elle lui parle calmement, comme lorsqu'elle le faisait avec des griffons apeurés.

Cette pensée la calma. Elle se savait parfois trop brusque dans ses paroles. La preuve en était, une nouvelle fois. Elle s'approcha donc du jeune homme avec calme, et posa une main légère et douce sur son épaule. Sa voix se fit plus douce également. « Excusez moi, je n'aurais pas dû vous parler aussi durement, mais vous voir si proche de lui alors que vous ne semblez pas à l'aise du tout m'a énervé. Vous n'auriez pas dû être seul avec lui, tant pour lui que pour vous. Ce sont des animaux dangereux. Même malade. »


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