nom, prénoms : Kane, Javier, Ascelin. âge, lieu de naissance : 42 ans, né à Taewyn, dans les îles Galadhorn. groupe : Galadhorn. Peut-être est-ce par son éducation, le fer dans lequel il a été forgé, mais Javier a toujours été en accord avec les idées de son souverain. Bien qu’il soit lui-même un soldat, et qu’il use de certains mots forts sur le terrain, il préfère maintenir la paix. Non pas pour lui, mais pour ceux qui l’entourent. métier : Capitaine des armées du Roi. Une lame aiguisée, et une politique à toute épreuve. Il a su très jeune, s’imposer parmi tous les petits soldats et chevaliers qui entouraient la famille royale. Son savoir faire et son expérience se sont affirmés lors des batailles de la révolte Vermeille. état civil : Célibataire. Bien qu’on ait souvent tenté de le marier, il est après-tout, un parti plus qu’intéressant. On ne lui prête d’ailleurs, que très peu de rumeurs de liaisons, voir aucune. Lui collant ainsi l’étiquette d’un cœur de pierre. guilde : Aucune.

▬ A première vue, on le croit froid, distant, et peu bavard. Plutôt observateur, il imposera son point de vue et ses mots, seulement lorsqu’il le juge réellement nécessaire. ▬ Patient, et réfléchit, ce qui peut parfois devenir un handicap. A trop réfléchir, on rate le coche. ▬ Doux rêveur, comme l’est son souverain. Il n’a de cesse que de songer à la paix et un continent harmonieux. Pourtant au fond de lui, il sait que tout n’est qu’utopie. Peut-être y croit-il encore, purement par loyauté. ▬ Il a voué sa vie à sa carrière dans l’armée. Il n’est donc pas des plus entourés, ni des plus sociables. Et il s’en porte plutôt bien. Il sait à quel point une trahison est vite arrivée. ▬ Il trouve puéril toutes les rumeurs et commérages aux quels l’on s’adonne à la cour. Il peut néanmoins en sourire. ▬ On lui a trouvé bon nombre de prétendantes pour le marier, mais il est toujours parvenu à fuir tout ça. Il n’est pas certain d’être doué pour rendre une femme heureuse, et sait que son métier est dangereux. Laisser femme et enfants derrière lui l’inquiéterait trop. Qui plus est, il se sent bien mieux libre. ▬ Il aime le soleil et la chaleur de ses îles. Quand il faut voyager pour les guerres, le froid et la pluie le rendent morose. ▬ Sa monture est un bel étalon d’un noir profond, qu’il nomme Gargon. ▬ Il est un combattant hors pair à l’épée et à main nue. Plutôt doué aussi avec les arcs, mais il préfère de loin user de sa lame. ▬ Il est né d’une famille pauvre, son père l’ayant “vendu” à l’armée pour nourrir le reste de sa famille. ▬ Bien qu’il ne possède aucun titre de noblesse, il est considéré comme tel, étant l’un des plus proches du roi. ▬ Il est entièrement loyale envers son souverain, et le protège personnellement à chaque sortie. Ils entretiennent mutuellement une relation de confiance aveugle. ▬ Il n’est pas très croyant, mais il s'y pli, principalement pour garder un œil sur la famille royale lors des sorties religieuses. ▬ Il aime bien marchander, errant souvent sur les marchés, pour surveiller les têtes brulées, il se prend facilement au jeu. ▬ Pour fuir la légèreté de la vie à la cour, il passe son temps à s’entraîner dans les jardins, où il se planque dans les écuries, loin de tout, si le roi n’a pas besoin de sa personne.


ton pseudo : Berly. comment as-tu trouvé CWM ? : Sur Bazart. et t'en penses quoi ? : C'est une petite perle si vous voulez vraiment mon avis. Et perso je la cherchais depuis longtemps pour implanter ce personnage. des trucs à ajouter/améliorer ? : Pour l'instant je n’ai pas tout exploré, mais je n’hésiterais pas si j’ai de petites idées.

Je n'ai pas grand chose à dire, je vais garder une part de mystère.

Oscar Isaac ▬ Javier Kane

   
Il est né il y a de cela maintenant 42 ans, dans les îles de Galadhorn. Son père y était paysan, il cultivait la terre. Aidé de son épouse, et de leurs cinq enfants. Ils devaient être sept, mais deux d’entre eux n’ont pas atteint les 36 mois. Javier est l’aîné de cette famille. On manque de tout, sauf d’amour peut-être. Les gosses ne se rendent pas compte des problèmes d’argent, et les parents n’en parlent jamais devant eux. Javier grandit donc paisiblement, et contrairement à beaucoup d’enfants de sa classe sociale, il est éduqué. Sa mère prend très à cœur la lecture, et l’histoire, qu’elle enseigne à sa progéniture. Elle est un peu tout pour Javier. Douce, souriante et si jolie. Il est fier de sa mère. Très proche d’elle aussi. Il est toujours derrière elle, pour l’aider, lui offrir ses bras à la moindre besogne. Mais elle disparaît à l’aube des treize ans du garçonnet, emportée par la maladie, alors qu’elle attend un énième enfant. Elle laisse un grand vide à la ferme. Il n’y a plus personne pour conter aux enfants, toutes ces belles histoires. Javier, il essai d’apprendre les mots, les lettres et les chiffres aux plus petits de la famille, mais ce n’est pas aussi facile qu’avec maman. Son père quant à lui, peine à faire tourner la ferme sans son épouse. Les affaires vont mal, il y a trop de bouches à nourrir. Il finira par décider du sort de son fils aîné, pour assurer de la nourriture au reste de ses enfants. Javier est donc contraint de rejoindre l’armée de Galadhorn, pour une poignée de bronze, alors qu’il n’est qu’un jeune adolescent. Lui qui se voyait libre, cultivant ses propres terres quand il en aurait l’âge, se retrouvait brusquement emprisonné dans un apprentissage autoritaire, brutale et effrayant. Persuadé qu’il n’y avait pas sa place, et pourtant. Il s’est avéré doué, même très doué, une épée en main. Comme beaucoup d’autres jeunes de son âge, il s’est entraîné, durement, pendant quelques années. Peut-être effrayé, ou bon petit mouton, il est un bon apprenti. Il marche droit, et ne s’égare guère. Jusqu’à la révolte Vermeille. Il est envoyé au front, avec ses camarades, pour la première grande guerre de sa vie, alors qu’il n’a qu’à peine plus de vingt-ans. Pour lui, c’est comme un cauchemar dont il ne se réveillera pas. Contre toute attente, Il s’illustre lors de cette guerre. Tué ou être tué, c’était le mot d’ordre que lui avait soufflé son maître d’arme, avant le premier combat. Il en use, avec rage, pour sa survie, et pour ce en quoi il croit. Ou en quoi il a été forgé. Il ferme les yeux, quand il faut ôter une vie, et efface rapidement les cris et les pleurs de sa mémoire, pour ne pas être hanté par les âmes qu’il a prises. C’est ainsi qu’il est repéré par le Roi Théobald. Au court de cette guerre, sa Majesté arrache Javier à son maître d’arme, afin qu’il soit entraîné par le Capitaine des armées, et de la garde Royale. A compter de ce jour, la vie de Javier prend un étrange tournant. Quand la guerre prend fin, il ne rejoint pas les campagnes, pour y retrouver sa famille. Il se retrouve propulsé à la cour du roi, au beau milieu de sa vingtaine. Second du Capitaine, apprenti, on ne sait guère quelle est vraiment sa place. Le Capitaine, sous ses airs d’hommes froid et sec, devient un second père pour Javier. Il lui apprend tout, la politique, l’histoire, la géographie et le maniement de diverses armes. Le jeune homme ne s’en rend guère compte, mais il est peint à son image. Parallèlement, Hecktor prend place sur le trône, et se rapproche de plus en plus à ce gamin, sorti des campagnes. Vu comme le fils du Capitaine, par toute la cour. Ils ne montrent rien, mais les deux jeunes hommes entretiennent naturellement, une confiance aveugle. Javier rassure le nouveau roi, tandis que celui-ci confie au jeune soldat, d’importantes missions. C’est donc sans surprise, que Javier prend la tête des armées du Roi, à la mort de l’ancien Capitaine. Son conseiller de l’ombre, sa protection aussi. Javier garde toujours un œil sur son souverain, et sa famille, à la moindre de ses sorties. Il est droit, juste, loyal, et entièrement dévoué aux Galadorhn. Un peu trop peut-être. Car on ne cache pas à la cour, qu’il serait bon qu’il s’entoure d’une femme, qu’un mariage lui assurerait un héritier. Des convenances auxquelles il ne désire pas se plier. Car si tout le monde le voit comme un membre à part entière, de cette cour, de cette noblesse et courtisans, lui, n’en n’oublie pas moins d’où il vient, et cette liberté, à laquelle il voulait s’abandonner, plus jeune. S’il savoure son train de vie, il y emprisonné par de trop nombreuses obligations de la haute société. Jusqu’à quand parviendra-t-il à les fuir ?

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Très sincèrement, ta plume est envoutante. Je serais ravie d'avoir l'honneur de rp avec toi Ça a été un plaisir pour moi de lire cette histoire, et de découvrir ce personnage qui claque des culs, pardonne moi l'expression.
Voilà, je ne te fais pas attendre plus longtemps et te valide. bienvenue parmi nous, que ton séjour soit beau et doux !



Te voilà validé sur le forum. Félicitations ! Maintenant, tu as deux trois petites choses à faire, mais rien d'embêtant, je te rassure.     Déjà, tu peux aller compléter ton profil, parce que c'est quand même bien plus pratique quand il est rempli. Ensuite, venir sur ce sujet pour te recenser, puis aller faire ta fiche de liens, pour te faire plein d'amis et rendre ton séjour plus beau encore.    Et puis si jamais, venir te pointer dans la recherche de rps, pour commencer à nous montrer ta plus superbe plume. Bon séjour ici !