« Je ne vous parlerai pas de vengeance, de guerre, de lutte et de sang.Je ne vous parlerai pas non plus d'injustice et de droit. Je ne vous parlerai même pas de ces gens qui font rimer ordre et terreur, lois et mensonges, morale et déchéance. Je veux vous parler de cette lumière qui brille en chacun de nous. Cette petite lumière qui fait de chacun de nous un être humain. Parce que cette lumière est en train de s'éteindre. »
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▬ L'ENVOL : Le serpent. Celui qui a changé d'identité bien trop de fois pour qu'on puisse le suivre. Aujourd'hui appelé Mayron dans la guilde d'Arthur. Qui sait combien de temps sa nouvelle identité va tenir, car petit à petit, des brides de son passé viennent faire saigner son potentiel avenir. ▬ LES PARCHEMINS : 84 ▬ L'AME : Cattleya ▬ LE REGARD : Manu Bennett ▬ LE TEMPS : Cinquante ans. Le poids des années se lit dans ses prunelles, se ressent dans sa voix, et se remarque dans sa mentalité.. ▬ LE SANG : Gwelnaur. Les ténèbres entourent son coeur qui désire guerre et sang, mais son esprit le force à ralentir la cadence depuis quelques années. Encore ténèbreux, mais en recherche de contrôle. ▬ LE FEU : Veuf. Les étreintes féminines l'attirent, il leur donne son corps mais son coeur lui, reste de marbre. Une seule femme a été capable de percer sa carapace, son épouse, la mère de ses enfants. Mais depuis son décès, il a choisi de ne plus ouvrir son coeur à qui que ce soit. Pas comme il a pu le faire avec elle en tout cas. ▬ LE DESTIN : Voleur. Anciennement chef de la guilde Les Scorpions du Chaos, il a été déchu et maintenant il oeuvre dans celle d'Arthur en tant protecteur. ▬ LE PACTE : Caste du Scorpion. Bien plus qu'une guilde, une famille, un espoir. ▬ LES ROSES : 3732
Mar 14 Avr - 16:05
◭ Arthur
CHEF SCORPION. « Limites sans cesse repoussées. Plaisir infini. »
▬ L'ENVOL : le silence et la nuit, l'aigle qui déplie ses ailes, chaparde aux grands de ce monde, voleur hécatombe. ▬ LES PARCHEMINS : 239 ▬ L'AME : savage, cyrielle. ▬ LE REGARD : b. cumberbatch. ▬ LE TEMPS : la quarantaine bien tassée, le fil des années. ▬ L'ETOILE : libre. vagabondant. ▬ LE SANG : nulle allégeance n'a ton coeur - qui suit l'or sonnant et trébuchant. ▬ LE FEU : vagabondes d'un soir. ▬ LE DESTIN : marchant itinéraire et tes étals sur lesquels brillent les gemmes au soleil. officieusement, voleur, chef d'une guilde de scorpions. ▬ LE PACTE : le scorpion, poison dans ses veines. ▬ LES ROSES : 3907
La lune t'enveloppe de sa chaleur réconfortante. De sa puissance détonante.
La journée a été bonne. Tes gemmes se sont bien vendues dans la brume de Til Garhyt, les poches des nobles que tu avais dans ton viseur ont bel et bien finies dans la tienne, et d'autres gemmes sont venues se greffer à celles que tu avais déjà. Quel malin tu fais, Arthur, vendant à des prix exorbitants des pierres que tu as dérobées le matin-même, à ceux-là même que tu viens de voler. Et ainsi se poursuit le cycle infini. L'éternité dans les possibles que tu rends accessibles.
Tu te délasses tranquillement sur le grand fauteuil de l'antre dans laquelle tu prends le plus souvent tes quartiers. Il est entendu que tu es souvent obligé de bouger, mais tu n'as de toute façon jamais eu d'autre attache que la nuit qui t'enveloppe, que la lune - ta plus fidèle alliée. Cela ne t'embête pas, bien au contraire. Chaque jour te réserve son lot de mystères. Tu fais tourner le liquide goûteux dans ton verre, et quelques perles de vin se dérobent aux autres. La chaleur au fond de ta gorge, le repos bien mérité du guerrier qui s'est longuement donné, aujourd'hui comme les autres jours. Ton cerveau en ébullition ne parvient - lui, pas à trouver le sommeil, tant tu songes aux préparatifs des casses à venir. Tu ne te rappelles même pas le dernier moment où tu as complètement décroché, tant toute ta vie s'accroche fermement aux scorpions qui t'entourent et à tes ambitions.
Des bruits de pas dans les escaliers te sortent de la rêverie tant laquelle tu te prélassais jusqu'alors. Mayron. Tu reconnaîtrais la ferveur de ses pas entre mille, tant il est brusque, parfois. Etonnant bonhomme. La brusquerie habituel de l'ours guerrier qui, en un claquement de doigt, peut devenir finesse essentielle au meilleur des voleurs. Il toque, quelques coups, sur la porte de chêne qui te protège du monde extérieur. Entre, sans trop attendre ton accord. De toute façon, jamais tu ne l'aurais laissé dehors.
▬ Prends donc un verre, d'abord. Ne sais-tu pas encore qu'il ne sert à rien de se précipiter ? Que tu lâches, amusé, après avoir entendu sa requête. Toujours dans l'exagération, ce guerrier, toujours dans l'abus parolier qui lui permet de plus sûrement encore obtenir ce qu'il veut. Cela ne marche pas, avec toi. La patience est ton maître mot, à tel point que parfois, tu éteins la flamme qui est la sienne de ton calme olympien. Tu montres d'un doigt la bouteille qui trône - magistrale sur la table en hêtre. Bouteille elle aussi victuaille recueillie de la maison abandonnée de quelques nobles de passage. Il faut bien, parfois, savoir saisir les instants de simplicité pour pouvoir en profiter. ▬ Rappelle-moi. Quel âge a ta fille ? Que lui as-tu appris ? De l'importance de l'enseignement. Et cette posture de vieux sage que tu prends, qui, bien souvent, en a exaspéré plus d'un. ▬ Est-elle aussi fulminante que toi, vraiment ? Crois-tu que je gagnerais à en canaliser plus d'un ? Le sourire qui se dessine sur ton visage, alors que tu lui montres la place, à tes côtés, l'invitant à venir partager un de tes rares moments.
◭ Mistral
Le serpent« Kill a demon today, face the devil tomorrow »
▬ L'ENVOL : Le serpent. Celui qui a changé d'identité bien trop de fois pour qu'on puisse le suivre. Aujourd'hui appelé Mayron dans la guilde d'Arthur. Qui sait combien de temps sa nouvelle identité va tenir, car petit à petit, des brides de son passé viennent faire saigner son potentiel avenir. ▬ LES PARCHEMINS : 84 ▬ L'AME : Cattleya ▬ LE REGARD : Manu Bennett ▬ LE TEMPS : Cinquante ans. Le poids des années se lit dans ses prunelles, se ressent dans sa voix, et se remarque dans sa mentalité.. ▬ LE SANG : Gwelnaur. Les ténèbres entourent son coeur qui désire guerre et sang, mais son esprit le force à ralentir la cadence depuis quelques années. Encore ténèbreux, mais en recherche de contrôle. ▬ LE FEU : Veuf. Les étreintes féminines l'attirent, il leur donne son corps mais son coeur lui, reste de marbre. Une seule femme a été capable de percer sa carapace, son épouse, la mère de ses enfants. Mais depuis son décès, il a choisi de ne plus ouvrir son coeur à qui que ce soit. Pas comme il a pu le faire avec elle en tout cas. ▬ LE DESTIN : Voleur. Anciennement chef de la guilde Les Scorpions du Chaos, il a été déchu et maintenant il oeuvre dans celle d'Arthur en tant protecteur. ▬ LE PACTE : Caste du Scorpion. Bien plus qu'une guilde, une famille, un espoir. ▬ LES ROSES : 3732
Jeu 16 Avr - 11:53
◭ Arthur
CHEF SCORPION. « Limites sans cesse repoussées. Plaisir infini. »
▬ L'ENVOL : le silence et la nuit, l'aigle qui déplie ses ailes, chaparde aux grands de ce monde, voleur hécatombe. ▬ LES PARCHEMINS : 239 ▬ L'AME : savage, cyrielle. ▬ LE REGARD : b. cumberbatch. ▬ LE TEMPS : la quarantaine bien tassée, le fil des années. ▬ L'ETOILE : libre. vagabondant. ▬ LE SANG : nulle allégeance n'a ton coeur - qui suit l'or sonnant et trébuchant. ▬ LE FEU : vagabondes d'un soir. ▬ LE DESTIN : marchant itinéraire et tes étals sur lesquels brillent les gemmes au soleil. officieusement, voleur, chef d'une guilde de scorpions. ▬ LE PACTE : le scorpion, poison dans ses veines. ▬ LES ROSES : 3907
La famille. Si la famille des scorpions peut exister, c'est parce qu'elle n'a de famille que le nom. Proches, vous l'êtes. Mais capables de voir chacun d'entre vous mourir sous vos yeux, capables de prendre les bonnes décisions malgré l'amour que vous vous vouez, cela aussi, vous êtes aptes à le faire. Vous devez le demeurer. Aussi, l'hésitation dans ton cœur lorsque tu plonges tes yeux aciers en ceux de Mayron. L'hésitation que tu caches, pour l'instant. Le moment n'est pas venu.
Le sourire que tu lui renvoies, alors qu'il te regarde, alors qu'il parle de sa petite princesse, sa fille, la prunelle de ses yeux, tant il est émerveillé dès lors qu'il prononce son nom. Tu n'as jamais eu d'enfant, Arthur, tu ne sais ce que peut être la pertinence de ce sentiment. Voilà bien un enseignement que tu ne procureras pas, celui d'être une bonne figure paternelle. ▬ Je ne doute pas qu'elle soit talentueuse, avec un père tel que toi. Sourire. Mayron est de ces hommes roc. Il peut porter sur lui les plus terribles montagnes. La paternité, la solitude en cet exercice, a du être pour lui plus difficile que n'importe quelle torture physique. Mais il s'en est sorti, et se réveille en lui une véritable douceur dès lors qu'il parle de l'une de ses filles. Sourires encore, sur ton visage. Tu es admiratif face au père qu'il semble être.
▬ Tu le sais, je ne peux être le seul à décider. Elle devra passer devant le conseil. Tu sais aussi, Arthur, qu'elle ne peut passer devant le conseil si elle n'a pas eu l'aval devant toi. Cesse donc de te défiler, petit voleur. Soupir. Tu trinques avec lui, bois quelques gorgées de ce liquide chaleureux qui te donne le courage qui jusqu'alors te manquait. ▬ Tu me l'amèneras, Mayron. Toutefois... Ta voix qui se suspend, le silence qui reprend ses droits.
▬ Serais-tu prêt à la laisser mourir pour sauver le plus grand nombre ? La question qui résonne, les perles du liquide alcoolisé qui tremblent dans ton verre, ta voix qui se mue, murmures.
Allez, papa poule, il faut désormais se confronter à la réalité. La dure, la terrible, celle de la fatalité.
◭ Mistral
Le serpent« Kill a demon today, face the devil tomorrow »
▬ L'ENVOL : Le serpent. Celui qui a changé d'identité bien trop de fois pour qu'on puisse le suivre. Aujourd'hui appelé Mayron dans la guilde d'Arthur. Qui sait combien de temps sa nouvelle identité va tenir, car petit à petit, des brides de son passé viennent faire saigner son potentiel avenir. ▬ LES PARCHEMINS : 84 ▬ L'AME : Cattleya ▬ LE REGARD : Manu Bennett ▬ LE TEMPS : Cinquante ans. Le poids des années se lit dans ses prunelles, se ressent dans sa voix, et se remarque dans sa mentalité.. ▬ LE SANG : Gwelnaur. Les ténèbres entourent son coeur qui désire guerre et sang, mais son esprit le force à ralentir la cadence depuis quelques années. Encore ténèbreux, mais en recherche de contrôle. ▬ LE FEU : Veuf. Les étreintes féminines l'attirent, il leur donne son corps mais son coeur lui, reste de marbre. Une seule femme a été capable de percer sa carapace, son épouse, la mère de ses enfants. Mais depuis son décès, il a choisi de ne plus ouvrir son coeur à qui que ce soit. Pas comme il a pu le faire avec elle en tout cas. ▬ LE DESTIN : Voleur. Anciennement chef de la guilde Les Scorpions du Chaos, il a été déchu et maintenant il oeuvre dans celle d'Arthur en tant protecteur. ▬ LE PACTE : Caste du Scorpion. Bien plus qu'une guilde, une famille, un espoir. ▬ LES ROSES : 3732
Ven 17 Avr - 15:01
◭ Arthur
CHEF SCORPION. « Limites sans cesse repoussées. Plaisir infini. »
▬ L'ENVOL : le silence et la nuit, l'aigle qui déplie ses ailes, chaparde aux grands de ce monde, voleur hécatombe. ▬ LES PARCHEMINS : 239 ▬ L'AME : savage, cyrielle. ▬ LE REGARD : b. cumberbatch. ▬ LE TEMPS : la quarantaine bien tassée, le fil des années. ▬ L'ETOILE : libre. vagabondant. ▬ LE SANG : nulle allégeance n'a ton coeur - qui suit l'or sonnant et trébuchant. ▬ LE FEU : vagabondes d'un soir. ▬ LE DESTIN : marchant itinéraire et tes étals sur lesquels brillent les gemmes au soleil. officieusement, voleur, chef d'une guilde de scorpions. ▬ LE PACTE : le scorpion, poison dans ses veines. ▬ LES ROSES : 3907
La fierté qui se dessine dans ses yeux. La fierté du père, qui le rend aussi heureux.
Quelques fois, tu te demandes si tu aurais eu envie d'être père. Il n'y a certes pas qu'une seule réponse à cette question, et tu ne saurais n'en donner qu'une. Mais tes interrogations t'entraînent vers des méandres inconnus, de ceux où ta vie se dénude de son sens. Mentor émérite de nombres d'apprentis, tu as souvent été confronté aux questionnements propres à ceux de la paternité. L'enseignement et l'éducation ont longuement - et sont toujours - dans l'ordre de tes priorités. Mais à voir cette flamme qui brille dans le regard de Mayron, tu sens que quelque chose t'a échappé. Et qu'à ce bonheur, tu ne pourras jamais goûter. Tu tais les interrogations qui sèment le trouble en ton esprit. Une gorgée d'alcool qui réchauffe ton âme.
Ses réponses ont vocation à te rassurer. Elles n'y parviennent qu'à moitié. Tu n'es pas homme à qui l'on peut mentir, et tu demeures au fond de toi persuadé qu'une relation filiale est plus essentielle que la force du nombre. Si vous êtes une famille, dans ta guilde, c'est surtout par l'égalité totale des liens entre chacun de vous. Du moins est-ce l'utopie vers laquelle tu tends, niant les sentiments qui parfois viennent se mêler et semer le trouble dans votre pérenne tranquillité. Fermer les yeux à l'impitoyable vérité n'est pas ta façon de voyager en la vie. Tu préfères te confronter aux difficultés.
▬ Très bien. Le ton de ce calme olympien, comme à ton habitude. Tu ne le regardes plus. Tes yeux aciers se perdent dans la contemplation de ce verre qui demeure entre tes mains, ce verre que tu ne termines pas. ▬ Parle-moi d'elle. Est-ce là un test ? Nul n'en sait rien. Sans doute, d'ailleurs, que toi non plus.
◭ Mistral
Le serpent« Kill a demon today, face the devil tomorrow »
▬ L'ENVOL : Le serpent. Celui qui a changé d'identité bien trop de fois pour qu'on puisse le suivre. Aujourd'hui appelé Mayron dans la guilde d'Arthur. Qui sait combien de temps sa nouvelle identité va tenir, car petit à petit, des brides de son passé viennent faire saigner son potentiel avenir. ▬ LES PARCHEMINS : 84 ▬ L'AME : Cattleya ▬ LE REGARD : Manu Bennett ▬ LE TEMPS : Cinquante ans. Le poids des années se lit dans ses prunelles, se ressent dans sa voix, et se remarque dans sa mentalité.. ▬ LE SANG : Gwelnaur. Les ténèbres entourent son coeur qui désire guerre et sang, mais son esprit le force à ralentir la cadence depuis quelques années. Encore ténèbreux, mais en recherche de contrôle. ▬ LE FEU : Veuf. Les étreintes féminines l'attirent, il leur donne son corps mais son coeur lui, reste de marbre. Une seule femme a été capable de percer sa carapace, son épouse, la mère de ses enfants. Mais depuis son décès, il a choisi de ne plus ouvrir son coeur à qui que ce soit. Pas comme il a pu le faire avec elle en tout cas. ▬ LE DESTIN : Voleur. Anciennement chef de la guilde Les Scorpions du Chaos, il a été déchu et maintenant il oeuvre dans celle d'Arthur en tant protecteur. ▬ LE PACTE : Caste du Scorpion. Bien plus qu'une guilde, une famille, un espoir. ▬ LES ROSES : 3732
Sam 18 Avr - 12:47
◭ Arthur
CHEF SCORPION. « Limites sans cesse repoussées. Plaisir infini. »
▬ L'ENVOL : le silence et la nuit, l'aigle qui déplie ses ailes, chaparde aux grands de ce monde, voleur hécatombe. ▬ LES PARCHEMINS : 239 ▬ L'AME : savage, cyrielle. ▬ LE REGARD : b. cumberbatch. ▬ LE TEMPS : la quarantaine bien tassée, le fil des années. ▬ L'ETOILE : libre. vagabondant. ▬ LE SANG : nulle allégeance n'a ton coeur - qui suit l'or sonnant et trébuchant. ▬ LE FEU : vagabondes d'un soir. ▬ LE DESTIN : marchant itinéraire et tes étals sur lesquels brillent les gemmes au soleil. officieusement, voleur, chef d'une guilde de scorpions. ▬ LE PACTE : le scorpion, poison dans ses veines. ▬ LES ROSES : 3907
Mener des hommes. Les mener vers le meilleur, vers ce qu'ils peuvent donner de plus idéal, de plus aérien, les mener vers leur envol, sans craindre un crash soudain. De la difficulté de ta mission, tu as conscience, la menant néanmoins avec une farouche habilité. Si parfois les questions te taraudent, si parfois elles sont la lie de tes insomnies, la raison de tes angoisses, tu l'as acceptée, cette mission, apportant avec elle son lot de craintes, de terreurs, de questionnements sans fond sans une seule bonne réponse. Meneur, à l'ambition ailée. Le silence d'or. La solution d'argent. Il y a deux réponses à cette question, comme à toutes les questions. Laquelle veux-tu en premier, celle du savant ou celle du poète ? Tu as parfois plus de facilité à donner celle du poète, qui ne t'impose pas toujours de trancher. C'est ainsi que tu agiras avec Mayron. Ne pas effleurer son ego bafoué.
Il te parle d'elle, les mêmes pétillements dans les prunelles. Chaque nouvelle recrue doit subir un entraînement nécessaire auprès d'un des membres accepté dans la guilde. Mayron ne peut se faire son seul mentor, puisque sa position de père l'en empêche. Elle devra grandir, se façonner entre tes mains. Si, bien sur, il l'accepte. ▬ A qui avais-tu pensé pour l'apprentissage ? Lui faire croire qu'il détient le choix entre ses mains. Que tu ne seras là que pour trancher les dilemmes, mais non les imposer. Ah, si tu savais qu'il avait un jour été à ta place... ▬ Il va te falloir accepter le danger. Sans broncher. Tu n'auras aucun mot à dire sur son apprentissage, et elle ne t'en parlera pas. L'intonation de ta voix qui s'élève un peu dans sa tonalité, comme pour sous-entendre une interrogation. En vérité, elle n'en est pas une. Ordre claqué dans le silence doré. S'il l'accepte, tant mieux. S'il le refuse, la solution s'imposera d'elle-même.
Elle semble avoir soif de savoirs, de connaissances. Elle semble pertinente, cette jeune fille, une recrue comme celle que tu aimes généralement former. Le dilemme qu'il t'impose est toutefois délicat. A qui pourriez-vous bien confier son enseignement ? Saurais-tu, toi même, t'en occuper, sans rien dire à Mayron, très frère, ton aîné ? Le silence est d'or, dans le secret des mystères. Dans l'ombre de la lune, l'ombre familière.
◭ Mistral
Le serpent« Kill a demon today, face the devil tomorrow »
▬ L'ENVOL : Le serpent. Celui qui a changé d'identité bien trop de fois pour qu'on puisse le suivre. Aujourd'hui appelé Mayron dans la guilde d'Arthur. Qui sait combien de temps sa nouvelle identité va tenir, car petit à petit, des brides de son passé viennent faire saigner son potentiel avenir. ▬ LES PARCHEMINS : 84 ▬ L'AME : Cattleya ▬ LE REGARD : Manu Bennett ▬ LE TEMPS : Cinquante ans. Le poids des années se lit dans ses prunelles, se ressent dans sa voix, et se remarque dans sa mentalité.. ▬ LE SANG : Gwelnaur. Les ténèbres entourent son coeur qui désire guerre et sang, mais son esprit le force à ralentir la cadence depuis quelques années. Encore ténèbreux, mais en recherche de contrôle. ▬ LE FEU : Veuf. Les étreintes féminines l'attirent, il leur donne son corps mais son coeur lui, reste de marbre. Une seule femme a été capable de percer sa carapace, son épouse, la mère de ses enfants. Mais depuis son décès, il a choisi de ne plus ouvrir son coeur à qui que ce soit. Pas comme il a pu le faire avec elle en tout cas. ▬ LE DESTIN : Voleur. Anciennement chef de la guilde Les Scorpions du Chaos, il a été déchu et maintenant il oeuvre dans celle d'Arthur en tant protecteur. ▬ LE PACTE : Caste du Scorpion. Bien plus qu'une guilde, une famille, un espoir. ▬ LES ROSES : 3732
Lun 20 Avr - 15:30
◭ Arthur
CHEF SCORPION. « Limites sans cesse repoussées. Plaisir infini. »
▬ L'ENVOL : le silence et la nuit, l'aigle qui déplie ses ailes, chaparde aux grands de ce monde, voleur hécatombe. ▬ LES PARCHEMINS : 239 ▬ L'AME : savage, cyrielle. ▬ LE REGARD : b. cumberbatch. ▬ LE TEMPS : la quarantaine bien tassée, le fil des années. ▬ L'ETOILE : libre. vagabondant. ▬ LE SANG : nulle allégeance n'a ton coeur - qui suit l'or sonnant et trébuchant. ▬ LE FEU : vagabondes d'un soir. ▬ LE DESTIN : marchant itinéraire et tes étals sur lesquels brillent les gemmes au soleil. officieusement, voleur, chef d'une guilde de scorpions. ▬ LE PACTE : le scorpion, poison dans ses veines. ▬ LES ROSES : 3907
L'apprentissage te ramène à songer au code des scorpions. Au code, également, que toi même tu tentes de respecter, jour après jour, nuit après nuit, sous l’œil complice de la lune et des étoiles. Car tes objectifs ne sont pas toujours similaires à ceux de la guilde dans son ensemble. Et les liens à l'intérieur de la guilde te paraissent clairement compromettre la famille et l'égalité qui doit naturellement résider à l'intérieur. Pour autant, rien n'interdit, selon le code, le grand, le seul et l'unique, les liens amoureux entre scorpions, ni même les liens filiaux. En ce sens, tu t'avères plus sévère encore que les grands pontes du conseil. Tu songes à l'erreur commise avec Asmodee. Tu songes au silence dont tu entoures cette nuit. Tu songes au regard moqueur que Mayron te jetterait, s'il savait. Alors tu t'enfermes dans ce mutisme. Ravale cette culpabilité qui broie ton âme, ton cœur et ton esprit. Incapable que tu es de respecter tes propres lois. Celles-là même qui sont censés guider tes pas.
Tu replonges dans regard dans celui de l'homme qui te fait face, te concentre sur ses paroles. Il est fini, le temps des regrets et des plongeons dans le passé. Songeons désormais à l'avenir. Cet avenir prometteur que te ramène sans doute le père si fier de sa tendre progéniture. Toi. Ne t'en doutais-tu pas, Arthur ? Touché par cette proposition, tu plonges plus profondément tes prunelles en les siennes. Dévoiles ainsi, par la flamme qui y passe, la fierté que tu as, l'honneur que tu ressens de cette confiance qu'il te voue. Il te confierait jusqu'à sa petite grenouille, et même si tu t'en doutais, le voir te fait un drôle d'effet. ▬ Tu m'honores, Mayron. La douceur dans le ton de ta voix, l'assurance certaine de cette famille qui t'entoure, de celle que tu as modelé, mais qui dépasse même tes pures volontés.
Tu n'es pas à ton coup d'essai, Arthur. Tu as déjà eu un certain nombre d'apprentis. Certains se sont soldés par des échecs dévastateurs, d'autres t'ont longuement perturbés, certaines t'ont enfouis dans une indicible fierté, d'autres t'ont honorés. Globalement, tu ne regrettes aucunement le moindre apprentissage auquel tu t'es voué. Le précepteur au creux de ton sein, tant tu as le calme nécessaire pour transmettre les bonnes leçons. Tu sais que tu mettras un point d'honneur à parachever l'apprentissage de sa fille. Tu sais que tu te donneras, pour qu'elle passe l'épreuve finale du conseil. Tu sens que lui aussi, il le sait. Qu'il voue en toi une confiance aveugle. ▬ J'accepte avec bonheur ce défi que tu me lances. Je ferai de mon mieux, comme à chaque fois. Ne pas montrer que cela a une saveur particulière, parce que tu auras à cœur de briller auprès de Mayron. Ne pas avouer que déjà l'égalité est rompue.
◭ Mistral
Le serpent« Kill a demon today, face the devil tomorrow »
▬ L'ENVOL : Le serpent. Celui qui a changé d'identité bien trop de fois pour qu'on puisse le suivre. Aujourd'hui appelé Mayron dans la guilde d'Arthur. Qui sait combien de temps sa nouvelle identité va tenir, car petit à petit, des brides de son passé viennent faire saigner son potentiel avenir. ▬ LES PARCHEMINS : 84 ▬ L'AME : Cattleya ▬ LE REGARD : Manu Bennett ▬ LE TEMPS : Cinquante ans. Le poids des années se lit dans ses prunelles, se ressent dans sa voix, et se remarque dans sa mentalité.. ▬ LE SANG : Gwelnaur. Les ténèbres entourent son coeur qui désire guerre et sang, mais son esprit le force à ralentir la cadence depuis quelques années. Encore ténèbreux, mais en recherche de contrôle. ▬ LE FEU : Veuf. Les étreintes féminines l'attirent, il leur donne son corps mais son coeur lui, reste de marbre. Une seule femme a été capable de percer sa carapace, son épouse, la mère de ses enfants. Mais depuis son décès, il a choisi de ne plus ouvrir son coeur à qui que ce soit. Pas comme il a pu le faire avec elle en tout cas. ▬ LE DESTIN : Voleur. Anciennement chef de la guilde Les Scorpions du Chaos, il a été déchu et maintenant il oeuvre dans celle d'Arthur en tant protecteur. ▬ LE PACTE : Caste du Scorpion. Bien plus qu'une guilde, une famille, un espoir. ▬ LES ROSES : 3732
Sam 25 Avr - 11:58
◭ Arthur
CHEF SCORPION. « Limites sans cesse repoussées. Plaisir infini. »
▬ L'ENVOL : le silence et la nuit, l'aigle qui déplie ses ailes, chaparde aux grands de ce monde, voleur hécatombe. ▬ LES PARCHEMINS : 239 ▬ L'AME : savage, cyrielle. ▬ LE REGARD : b. cumberbatch. ▬ LE TEMPS : la quarantaine bien tassée, le fil des années. ▬ L'ETOILE : libre. vagabondant. ▬ LE SANG : nulle allégeance n'a ton coeur - qui suit l'or sonnant et trébuchant. ▬ LE FEU : vagabondes d'un soir. ▬ LE DESTIN : marchant itinéraire et tes étals sur lesquels brillent les gemmes au soleil. officieusement, voleur, chef d'une guilde de scorpions. ▬ LE PACTE : le scorpion, poison dans ses veines. ▬ LES ROSES : 3907
Chaos et Harmonie. Ombre et Lumière. Cette confiance aveugle que tu voues à Mayron. Cette confiance absolue, qui brille de la couleur de la totalité. Entraîner sa fille, ton nom qui franchit le creux de sa bouche, s'ancre de la tonalité de sa voix grave, cette proposition qu'il te fait qui s'éclaire de la douce chaleur de l'amitié qui vous lie, de cette confiance absolue et réciproque. Tu es persuadé que Mayron est un frère, un parmi les autres, un qui brille par delà la masse. Chaos et Harmonie. Ombre et Lumière. Glace et Feu. Cette totalité qui réunit les contraires, se nourrit des oxymores. Ce lien qui brille quand tu plonges tes prunelles en les siennes. Ton frère. Il dit ton nom, qui fait vibrer le silence. Il dit merci, de cette voix qui ferait trembler les astres de sa complexité par delà la simple apparence. Car il ne s'agit pas là d'un simple remerciement de surface, mais bien d'une preuve absolue de confiance éperdue. Comme tout est ancré, lorsque cela passe dans ton esprit dérangé. Comme tu donnes du sens au moindre vacillement d'iris. La complexité qui résonne en ton âme dualité. Feu et Glace.
Tu te contentes d'un hochement de tête pour lui répondre. Cela suffit, tant il peut lire davantage s'il se concentre sur les tumultes qui dérangent tes prunelles. Le grand honneur d'être un père, d'être un frère. Ce grand honneur qui t'auréole comme un sacre. Hymne à la vie, hymne à l'être.
Tu le ressers de ce bon vin que tu as sorti pour l'occasion, vous trinquer à l'assurance sévérité de l'avenir. Aux promesses mystérieuses qu'elles recèlent, comme des perles cachées dans le cocon d'une huître bien trop fermée. Tu ne lis pas le destin, certes non, mais tu sais déjà qu'à tes côtés, Mayron demeurera, emportant avec lui la douceur d'une fille. ▬ Buvons, maintenant, et laissons derrière nous les conversations trop sérieuses. Un sourire qui se dessine sur ton visage, et tu trinques à nouveau, à la nuit qui vous entoure, à la superbe nuit et au silence.