If you need me, I’ll be right there ※ Valeriane - Page 2
Ouvre la porte.
« Je ne vous parlerai pas de vengeance, de guerre, de lutte et de sang.Je ne vous parlerai pas non plus d'injustice et de droit. Je ne vous parlerai même pas de ces gens qui font rimer ordre et terreur, lois et mensonges, morale et déchéance. Je veux vous parler de cette lumière qui brille en chacun de nous. Cette petite lumière qui fait de chacun de nous un être humain. Parce que cette lumière est en train de s'éteindre. »
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If only would men think instead of fight, there might be more good ones left.
▬ L'ENVOL : tisserande & marchande des meilleurs tissus d'Elenath. ▬ LES PARCHEMINS : 168 ▬ L'AME : kassie ▬ LE REGARD : tamla kari ▬ LE TEMPS : trente ans ▬ LE SANG : thoron ▬ LE FEU : veuve, encore trop récent pour qu'elle ne songe à se remarier. ▬ LE DESTIN : bourgeoise fortunée, acerbe marchande douée pour les affaires. ▬ LES ROSES : 3394
Elle aurait aimé pouvoir, juste une dernière fois, avoir une conversation avec son mari. Juste, pour que les choses,soient claires, pour qu’elle cesse de se morfondre et de s’en vouloir, pour qu’elle soit sûre de ce qu’ils avaient vécu ensemble. Mais elle ne l’aurait jamais, cette conversation. Ne pas savoir est pire que tout. C’est une lame délicatement insérée dans le coeur, juste assez pour faire mal, pas assez pour tuer. Et l’on remue cette lame à souhait, à mesure des jours et des pensées qui traversent l’esprit. Elle doit faire avec, seulement, pour l’instant, elle ignore comment.
« Tu penses que ce n’était pas juste dû à ta grossesse S’il était ainsi ? Et qu’il était déjà comme ça avant ? » Elle ne sait plus. Elle flanche, la tisserande, au bord de l’explosion, de colère, de tristesse, de culpabilité. Perdre l’enfant, ça avait été pire que tout, il lui avait été arraché alors même qu’elle n’avait jamais pu le rencontrer, jamais pu l’entendre crier de toutes ses forces de bébé. La dispute qui avait suivi avait fait trembler les murs de la Demeure Tisserêve. Il lui avait tout reproché, de la perte du nouveau-né, à la grossesse, en passant par son éloignement à lui. Ce n’était jamais la faute d’Ariel, ce n’était pas lui qui avait perdu leur enfant. Les larmes brillent dans ses yeux, mais elle refuse de les laisser couler libres. « Je l’ai vu changé dès que je lui ai annoncé que j’étais enceinte. Il n’était juste... plus là. Et puis quand j’ai perdu... » Une larme roule sur sa joue, de colère elle l’écrase. « il m’a tout remis sur le dos, comme si j’en avais trop fait lors de la grossesse, alors que tous les feux étaient au vert. Je n’aurais jamais mis en danger qui que ce soit, le médecin était d’accord, il n’y avait rien pour lui qui justifiât que j’arrête tout.. » Valeriane ne saurait jamais quelles étaient les causes de la perte de son enfant. Qu’Ariel lui reproche d’avoir mis en danger leur enfant la meurtrissait. La tisserande exècre la violence, et l’idée même de faire du mal à quelqu’un dépasse ses forces. Elle n’est pas de ceux qui tuent.
« On dit que le temps fait des merveilles… » Et tout comme Ambroise, elle l’espère si fort.
Le sourire étire les lèvres d’Ambroise lorsqu’elle évoque la première fois qu’ils ont fait des affaires. Que cela doit être étrange, que de parler de sa vie passée, dès lors qu’on l’a laissée derrière. Ambroise avait fait le même choix que Louis, celui de devenir chevalier. « Espérons tout de même qu’il ne se fasse pas trop plumer lors de son unique fois. » Elle entendit le rire, qui la fait sourire à son tour. « Même si pour tout avouer, je m’étais vraiment fait avoir pour ma part. Il y a tellement de détails à prendre en compte. Et quand est-il de ton frère ? Il se porte bien ? La chevalerie lui convient toujours autant ? - je ne compte pas le laisser tout seul lors de sa première affaire, lui confie-t-elle avec un clin d’oeil. Il est hors de question que l’apprenti fasse les mêmes erreurs qu’elle a fait ; il sera meilleur qu’elle, elle n’a aucun doute là dessus lorsqu’il aura terminé son apprentissage. « Je n’ai jamais vu Louis si épanoui que depuis qu’il a choisi cette voie. Il a dû prendre bien dix kilos de muscles ! Une véritable armoire à glaces, rit-elle, un sourire affectueux sur les lèvres. Il adore ça, et il prends chacune de ses missions très à cœur. » Elle voit moins son frère depuis qu’il est devenu chevalier, mais le peu que le frère et la soeur se voient, l’un comme l’autre, s’émerveillent de leur présence. « Il m’apprends à tirer à l’arc » lui confie-t-elle doucement.
(c) DΛNDELION
Spoiler:
ce n'est pas grave
◭ Ambroise Alhuïn
Chevalier de Galadhorn« Now there's only love in the dark »
▬ LES PARCHEMINS : 674 ▬ L'AME : Cattleya ▬ LE REGARD : Daniel Sharman ▬ LE TEMPS : Vingt-six ans ▬ LE SANG : Galadhorn. Loyal jusqu'au bout des ongles, il ne pourrait jamais tourner le dos à sa terre d'origine, encore moins la trahir. ▬ LE FEU : Coeur pris, main libre. Il est amoureux depuis de longues années à une femme qui est promise à un autre. Jamais il ne pourra avouer ses sentiments et en tant que noble, viendra bien le moment où il se devra de faire perpétuer sa lignée. ▬ LE DESTIN : Noble, chevalier. Il a choisi de suivre sa propre voie plutôt que celle de la joaillerie comme sa famille, il est heureux de son choix qui reflète véritabelement sa personnalité et sa loyauté. ▬ LES ROSES : 4199
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▬ L'ENVOL : tisserande & marchande des meilleurs tissus d'Elenath. ▬ LES PARCHEMINS : 168 ▬ L'AME : kassie ▬ LE REGARD : tamla kari ▬ LE TEMPS : trente ans ▬ LE SANG : thoron ▬ LE FEU : veuve, encore trop récent pour qu'elle ne songe à se remarier. ▬ LE DESTIN : bourgeoise fortunée, acerbe marchande douée pour les affaires. ▬ LES ROSES : 3394
Aucun parent ne devrait avoir à subir la perte de son enfant. Et pourtant, dans les affres de la douleur natale, il n’y eu pas ce cris. Ce silence, si assourdissant, si terrifiant. Ce soir-là, pas ce cris de nouveau-né, pas de larmes de joie. Il n’y a que de le silence, s’infiltrant dans les murs, sous sa peau, déchirant sa chair et son âme. Son ventre désormais vide de toute vie, de toute la vie qu’elle a appris à aimer au fil des mois. Jamais il ne trouva la voie de l’air pur que nous respirons tous, jamais il ne poussa un cri salvateur. C’est le cri de désespoir de Valeriane qui brisa le silence cette nuit-là.
Elle ne peut décemment pas le décrire avec des mots. Ce déchirement venu du plus profond de son âme, transcendant le corps et l’esprit, et ce vide immense. Le genre de vide que l’on n’exprime pas avec des mots, parce que nul mot n’est assez fort pour le décrire.
« Ce n’était pas de ta faute, il n’avait aucun droit de te mettre cela sur le dos. » Le contact de la main d’Ambroise se resserre. La présence d’un ami, réconforte le coeur de la brune. Elle a besoin de l’entendre ; se le répéter en esprit est différent, mais se l’entendre dire, c’est le rendre réel. Elle distingue sans mal la même colère que lui instillent ses paroles, le reflet même de sa colère à elle. Colère dont le vecteur n’existe plus ; elle est brute, pure, et n’a plus de limites. Alors, on préfère ignorer la Colère dévorante, et comme Valeriane le fait, ne plus y penser, jusqu’à ce que, petit à petit, vous espérez qu’elle disparaisse - ou qu’elle vous dévore.
Et parfois, il y a des moments où la colère se tait, de brefs moments salvateurs. L’atelier Tisserêve semble être l’un de ces endroits ; et l’apprenti qui prends plaisir à forcer l’admiration chez sa maîtresse. Il apprends vite ; mais avec un tel maître d’oeuvre, perfectionniste à souhait, ce n’est guère étonnant.
Louis, Louis c’est sa lumière au travers de la tempête. Le premier qui a réussi à la refaire rire, à lui sortir la tête des tissus. « J’aimerais beaucoup revoir Louis, cela doit être impressionnant ce changement ! » Elle hoche la tête ; son frère a tellement changé, grandi, pris en maturité depuis qu’il est chevalier. Elle l’admire de cette admiration béate d’une petite fille pour son frère. « J’ai tellement hâte d’être enfin adoubé. J’ai l’impression que ça fait une éternité que je me suis lancé dans ce projet, alors qu’au final, cela fait tout juste deux ans. - ooh oui, cela change pas mal de choses, de devenir chevalier ! »
Le tir à l’arc, sa nouvelle passion. Elle qui déteste la violence, se retrouve à jouer les archères et à tuer des bottes de paille. « C’est une super nouvelle ça ! Il est vraiment important de savoir se défendre, au cas où, je suis ravie qu’il ait choisit de t’apprendre cela ! Et tu aimes bien ? - C’est... tellement grisant ! Mais je ne suis pas sûre d’un jour pouvoir tirer sur quelqu’un, même si je suis en danger. J’y cherche plutôt une forme de performance. » Elle se plaisait à challenger Louis, sur le terrain d’archerie, à qui tirerait le plus loin, sans rater la cible. Elle le battait à plate couture à chaque coup.
(c) DΛNDELION
◭ Ambroise Alhuïn
Chevalier de Galadhorn« Now there's only love in the dark »
▬ LES PARCHEMINS : 674 ▬ L'AME : Cattleya ▬ LE REGARD : Daniel Sharman ▬ LE TEMPS : Vingt-six ans ▬ LE SANG : Galadhorn. Loyal jusqu'au bout des ongles, il ne pourrait jamais tourner le dos à sa terre d'origine, encore moins la trahir. ▬ LE FEU : Coeur pris, main libre. Il est amoureux depuis de longues années à une femme qui est promise à un autre. Jamais il ne pourra avouer ses sentiments et en tant que noble, viendra bien le moment où il se devra de faire perpétuer sa lignée. ▬ LE DESTIN : Noble, chevalier. Il a choisi de suivre sa propre voie plutôt que celle de la joaillerie comme sa famille, il est heureux de son choix qui reflète véritabelement sa personnalité et sa loyauté. ▬ LES ROSES : 4199
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Elle chérissait cette amitié bien plus qu’elle ne le disait. Lorsque le ciel tourne à l’orage, que les nuages occultent le ciel, et que le monde se retrouve privé de ses couleurs, dans un éternel gris. Même les couleurs les plus extravagantes de ses étoffes ne brisaient pas la grisaille. Un peu de bon vin, et une bonne compagnie, poussait les nuages et le soleil revenait peu à peu. Elle espérait qu’Ambroise ne souffrirait pas trop de sa situation. Ils n’en avaient qu’aborder le sujet, elle le savait. Elle détestait ces conventions stupides qui entravaient l’amour et brisaient les cœurs. Valeriane espérait qu’il trouverait quelqu’un qui lui ferait oublier Juliana, même si elle mourrait d’envie d’aller secouer ladite noble pour lui expliquer le fond de sa pensée, et surtout, ce qu’elle perdait.
Elle détestait avoir à jouer un rôle, et elle savait pertinemment qu’il en était de même pour Ambroise. De joaillier, il avait tout plaqué, à l’instar de Louis, pour aller jouer les chevaliers. Préférant l’action et le feu du combat, plutôt que la sécurité de son métier destiné. Elle avait Louis s’ouvrir aux autres, lui qui, taciturne, ne partageait qu’avec elle. Elle s’était vue grandir une sorte de jalousie lorsqu’il lui racontait ses aventures, forgée d’une admiration grandissante, qui avait pris le dessus sur le sentiment négatif. Il avait trouvé sa voie, tout comme elle avait trouvé la sienne, fait fi des protestations familiales.
Ils avaient ainsi continué, bravant encore une fois les interdits en amenant sa soeur sur le terrain d’entrainement des chevaliers, lui bourrant les mains d’un arc et de flèches. Elle était si douée, et y trouvait un vrai plaisir, méticuleux, et s’appliquait à chaque lancé,pour qu’il soit parfait. « C’est surtout que, je doute d’avoir la force de faire du mal à quelqu’un, ou même à un animal. » L’idée de tuer, de blesser, la répugnait. Même forcée, même en danger, elle n’était pas sûre de pouvoir dégainer une flèche. Sans nul doute y préférerait d’elle sa langue acérée, tentant de désamorcer la situation. Elle sourit à la déclaration d’Ambroise. « Louis m’a dit exactement la même chose. Pour ma part, je suis une piètre épéiste...»
Oh, son frère avait essayé, de lui inculquer les rudiments avec une épée en bois. Valeriane avait failli se casser le poignet toute seule ; il avait vite abandonné devant le manifeste manque d’habileté de sa soeur. Ambroise et son frère se ressemblaient sur beaucoup de points, songea-t-elle ; et c’était peut être pour ça qu’elle appréciait autant le jeune noble de Galadhorn.
(c) DΛNDELION
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Doucement, mais sûrement, les rayons du soleil s’étaient fait orangés, alors que l’astre déclinait au profil du crépuscule naissant. Si absorbés étaient-ils, par leurs retrouvailles, par leurs affects échangés, que ni l’un ni l’autre n’avait remarqué le changement d’atmosphère. De cette chaleur baignée de l’après midi, aux prémices du soleil déclinant, et dont la chaleur avait quelque peu baissé. L’air frais, sans pour autant être froid, s’engageait par la baie vitrée restée ouverte. C’est l’entrée fracassante du jeune chat de la maisonnée, un miaulement presque impérieux, avec toute la majesté de sa race, sautant sur le bureau, et dardant ses iris marbrées sur les deux humains.
Il répéta son miaulement impératif, renifla le plateau, et avec grommellement digne d’un mini tigre, s’étala de tout son long sur le bureau. Valeriane, distraitement, le gratifia d’une brève caresse derrière les oreilles, déclencheur inexorable du ronronnement du matou. Elle se redressa quelque peu. Elle repris le fil de la discussion, grattant toujours le chat. « Sauf si tu veux que je me casse le poignet. Je suis douée avec des aiguilles, mais avec leur cousine de plus d’un mètre..» Moue contrariée, elle aurait aimé sabré comme le font si bien son frère et Ambroise. Parce qu’après tout, pourquoi n’y aurait que les hommes qui s’amuseraient ainsi ? « Eh bien il faudra qu’on organise ça. » Le chat manqua d’envoyer valser le plateau par terre.
« Il se fait tard, es-ce que tu sais où loger ce soir ? » Mais sans attendre de réponse, elle enchaîna : « Je peux faire préparer la chambre d’ami. Elle doit même déjà l’être, connaissant Arnaud. » Le célèbre domestique des Tisserêve était si efficace que parfois, Valeriane n’avait pas besoin de lui dire quoique ce soit. Il n’était pas question qu’il reparte ce soir, alors que la nuit s’annonçait fraîche. Il était bien capable de faire le chemin dans le sens inverse, mais Valeriane n’était pas sûre que la pauvre bête à l’écurie ne soit d’attaque pour un tel voyage si vite après la course effrénée de la matinée. Et pas question que son ami se paye une chambre à prix d’or à Calendyr alors qu’elle en avait une à sa disposition. Sa question n’en était donc pas vraiment une.
(c) DΛNDELION
Spoiler:
je pense que l'on peut bientôt terminer ?
◭ Ambroise Alhuïn
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